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 ✎ nahm keshawn; pyromania the mania.

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Nahm Keshawn

my fabulous name is

;Nahm Keshawn



I love myself.

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MessageSujet: ✎ nahm keshawn; pyromania the mania.   ✎ nahm keshawn; pyromania the mania. Icon_minitimeDim 27 Mar - 12:54


✎ nahm keshawn; pyromania the mania. Xpyk2c
« copyright to mykey © »
nahm keshawn

✎ nahm keshawn; pyromania the mania. 1z3nmdj
feat* lee hangook from [ganzinara] ;; vip.

surnom ken ; pyromaniac.
âge 22 y.o.
naissance 131188 ; chârjah, émirats arabe unis.
nationalité arabe et coréen.
finances plus que riche, impossible à imaginer.
statut célibataire, étrangement.
famille des parents et un frère cadet, parfait.
métier/études étudiant en stylisme; possède sa propre ligne vestimentaire ; danseur - mv, concerts.

Que penses-tu de toi ?:
je suis parfait, vous ne trouvez pas ?
Et les autres, c'est quoi?:
des vers de terre que j'aimerai brûler.
Plus tard, tu prévois quoi?:
je serai devenu un grand styliste, j'égalerai les plus célèbres.
Raconte nous un secret:
j'ai fait de la prison durant quelques mois pour avoir brûlé le visage d'un homme homophobe. bonjour, je suis pyromane.
Ton plus beau jour:
sans doute le jour où j'ai croisé cet ange pour la première fois.

once upon a time...


Ce mélange d’origines pourrait être mal vu par un grand nombre de personnes sur cette planète, et même dans ce beau pays qu’est la Corée du Sud. Ma vie a débuté bien loin de cette République, pourtant sur notre continent, l’Asie. Mon pays se situe quelque part en Arabie, ou plutôt celui de ma tendre mère. Je ne sais réellement pas grand-chose sur cette femme, mais le nécessaire pour dire que certains de mes traits lui appartiennent, lui reviennent. Une femme forte, bien loin d’être soumise. Je ne dois pas la connaître plus que cela, mon père n’ayant jamais voulu vraiment m’en parler. Pourtant, la retrouver m’intéresserait bien, et je suis sûr que je pourrai être fière de ma génitrice. Mes origines me sont chères, même si elles sont parfois la cible de certains êtres sans grande maturité. Mon père est une personne peu intéressante, ne possédant que de nombreuses conquêtes et un réel don pour la danse – et sans doute me l’a-t-il transmis –, sa vie se résume à la tromperie, le mensonge, les conneries. Je me demande parfois à quel point il pourrait faire honte à ses aînés, à sa famille toute entière ; mentir à ses propres fils, et même en avoir de femmes différentes, n’est-ce pas une preuve d’immaturité ?
Pyromaniac. C’est ainsi que l’on m’appelle depuis quelques années à présent. Un surnom étrange vous direz-vous, mais la cause l’est encore plus. J’étais sorti au cours d’une nuit tout à fait normal, et la soirée semblait bien s’annoncer. L’alcool, la danse, les…hommes. Les hommes, bien évidemment. Comment aurai-je pu approcher une femme ? Mon homosexualité était bien trop visible, et aucune d’elle n’aurait pu me convenir. Mais mon orientation ne semblait pas plaire à tout le monde ; et pourtant, je n’étais pas le seul ici. Mais peut-être était-ce parce que je semblais être une cible plus facile ? Et pourtant, l’homme qui avait osé s’en prendre à moi s’était bien trompé. J’étais bien loin d’être aussi faible qu’il n’aurait pu l’imaginer. Au début, cela ne semblait qu’être un léger conflit, rien de vraiment grave ; mais c’est au fil des minutes que tout s’aggravait. Il devenait violant, serrait les poings, me frappant. Je ne comprenais pas réellement ce qu’il se passait, un peu trop naïf sur certains points. J’ai fini par ne plus lui laisser le dessus, prenant l’avantage, le frappant au visage à mon tour, de mes poings d’acier. Cet évènement me surmontait, je m’étais laissé tenter par mon briquet, versant un verre d’alcool sur son visage et y mettant feu. Et cela m’avait procuré un tel plaisir que je ne pus m’arrêter sur le moment. Je continuais, j’aggravais la situation. Et la nuit m’avait semblé si longue. Si longue que je n’en voyais plus la fin. Et cette nuit, j’avais la forte impression de la revivre chaque soir. Les nuits blanches s’accumulaient, le sommeil me faisait tomber en pleine journée. Tous les jours se ressemblaient, et ce durant plusieurs mois. La prison avait pris mon existence toute entière. Je me demandais parfois si un jour j’aurai la chance de ressortir de cet horrible endroit. Habitué au luxe depuis ma plus tendre enfance, comment aurais-je pu prendre goût à cette atrocité ? Je fus bien heureux, quelques mois après cette folie, d’être remis en liberté. Et je me rendis compte de mon attirance pour le feu depuis ce conflit. Pyromane. Oui. Je l’étais devenu, petit à petit. Brûlant chambres d’hôtels, poubelles, et même l’une de mes plus belles voitures. Plus qu’une envie. Un besoin.
Je suppose que certains seraient bien tenter de mettre cette partie de ma personne sur un profond traumatisme, qui me rendrait parfait pour un asile. Mais croyez-moi, je n’ai jamais rien subit d’affreux, que ce fut durant mon enfance, mon adolescence ou aujourd’hui encore. J’y ai simplement pris goût, comme d’autres s’attacheraient à la drogue, ou encore à de simples sucreries. Je suis différent de tous ceux-ci ; n’aurais-je pas le droit ? Est-ce une chose totalement impossible dans votre esprit clos ? Ah, vous me décevez bien. Mais peut-être dois-je vous fournir des preuves sur ce que j’avance, pas vrai ? C’est bien cela que vous attendez, avouez-le simplement. Commençons, donc. Mon enfance a dû être des plus communes, si l’on parle bien des fils à papa, nés avec une cuillère en or dans la bouche. Oui, cette perfection ne m’a jamais quittée, puisqu’encore aujourd’hui, je vis presque entièrement à ses dépends. Pas autonome vous direz-vous. Mais si. Bien plus que la moitié de la population mondiale. Néanmoins, mettez-vous bien en tête que ce n’est que lorsque je le désire, puisque mon arrogance, mon indocilité, ma résistance m’en empêchent bien fortement. Que pourrais-je vous dire de plus à mon sujet ? Peut-être un rêve de gosse qui ne m’a jamais quitté la tête ? Oh, oui ; quelle bonne idée. Sachant, depuis mon enfance, grâce à mon père, que cette mère qui m’élevait depuis quelques années déjà n’était pas ma génitrice, je rêvais fortement au fait de revoir un jour cette femme, si intensément que depuis ce temps, à chaque fois que le jour se lève, je ne pense qu’à une unique chose : la croiser un jour dans la rue, malgré les faibles probabilités de cette situation, puisque jamais ce géniteur ne m’a nié que ma naissance fût aux Émirats Arabe Unis. Bien loin de notre pays, en vérité. Alors, d’après vous : combien ai-je de chance que ce miracle se produise ? Sans doute quelque chose aux alentours de 1 sur 1 million, voire même un milliard. J’ai l’impression que ma chance ne sera pas ; mais comme il se dit si bien : l’espoir fait vivre. Et puisqu’il me fait bien vivre, ne gâchez pas mon plaisir à y croire.
Peut-être aimeriez-vous en savoir plus sur ma famille – en y écartant ma véritable mère, bien évidemment – ? Alors, si cela est votre désir, exauçons-le. Que diriez-vous d’avoir une mère – ou plutôt une belle-mère – bien réputée dans le domaine de la haute-couture et du stylisme ? Et bien, j’ai cette chance, voyez-vous. C’est quelque fois un avantage, lorsque l’on veut renouveler sa garde-robe sans y mettre beaucoup d’argent. M’ayant toujours apprécié, et surtout beaucoup chouchouté, elle m’a toujours imaginé les tenues les plus originales, les plus uniques ; celles qu’aucun autre n’aurait pu obtenir. Elle m’a apprit à créer, dessiner, et habiller. Depuis quelques années à présent, je me rends à son lieu de travail, pour habiller quelques fois des mannequins, d’autres fois dessiner des tenues que j’aimerai pour ma propre personne. Et j’ai toujours été surpris par la vitesse à laquelle je recevais mes chefs-d’œuvre, prêts à porter. Je la félicite bien souvent de son efficacité et de son aide à me lancer dans ce milieu ; une perle rare : c’est sans aucun doute ce qu’elle est. Quant à mon père, ce grand danseur professionnel dont je dois sans aucun doute tenir quelques gênes concernant cet art, nous n’avons pas souvent été proches. Je lui en ai toujours voulut de m’avoir arraché de ma mère quelques mois à peine après ma naissance ; pas même deux années entières passées auprès de cette femme que j’aurai tant voulut connaître. Mais ce ne serait pas si mal que cela de cesser, sans arrêt, de rabâcher la même chanson, pas vrai ? Je vous l’accorde bien. Notre relation est, depuis quelques temps déjà, plus tendue qu’auparavant. Il y avait ce temps où nous arrivions encore à nous parler en face, sans ne rien nous cacher – ou presque – ; mais à présent, il semble s’être envolé, il a dû disparaître bien loin de nos pensées, ou peut-être simplement des siennes. Je crois que cette distance entre nous doit être due à mon homosexualité. Oui, c’est sans doute ça. Souhaitez-vous que je vous fasse un court résumé de ce moment ? Je le suppose, puisque sans cela, tout pourrait être confus dans votre petit esprit de mouche. Tout cela remonte au jour où il m’a surpris dans ma chambre avec un homme – cela me paraît encore étrange, lui qui n’avait pas pour habitude d’approcher de ma résidence. Il me semble que cela lui a procuré un certain choc ; peut-être était-ce le fait de se dire que jamais son fils ne deviendrait un homme à femme comme lui ? Ou qu’il n’y aurait pas de succession de gênes pour l’aîné ? Mais peut-être est-ce encore une toute autre raison, que je n’ai pas encore pu trouver… Mais retenez une chose : un choc. Peut-être même un traumatisme pour ce pauvre homme. A ce moment-là, je due bien lui avouer ma sexualité. Il me fit part de ses pensées, me disant qu’ainsi, jamais il ne pourrait à nouveau m’observer, ou même encore reconnaître que j’étais son fils. Mais sans doute était-ce un simple moyen de pression pour me faire changer, ne serait-ce qu’un minimum, puisque quelques temps après ces discutions, il semblait avoir abandonné son idée. Oui, peut-être étais-je une trop forte tête face à lui. Mais le principal doit sans aucun doute être le fait qu’il ait accepté mon orientation, à mon plus grand plaisir. Parfait. Je possède un frère – très demi-frère –, de qui je suis assez proche, de part peut-être notre sang, mais cela ne doit pas en être l’unique raison. J’ai ce besoin constant de le protéger, quelque chose qui pourrait ce résumer familièrement en un magnifique « touche à mon frère, je te brûle vivant. » Cela pourrait sembler être un sentiment tout à fait normal, mais peut-être pas tant que cela finalement. Chaque aîné se doit bien évidemment de défendre son frère, mais seraient-ils tous capable de tuer un homme pour avoir mis ne serait-ce qu’une gifle à son cadet ? J’en doute assez fortement, pour tout vous avouer. Mais cette crainte de le perdre un jour ne semble pas réellement lui plaire, à mon plus grand désespoir. Je crois le connaître bien mieux qu’un autre, et ainsi vous avouer que sa gentillesse sans limite peut l’amener à une naïveté trop frappante. S’appelant Haru, j’ai pris cette mauvaise habitude qui est de chanter quelques paroles de la fameuse chanson lorsque je souhaite l’appeler. Peu importe le lieu, d’ailleurs ; on dit que le ridicule ne tue pas, et je peux vous prouver qu’elle ne le fait réellement pas. J’ai cette impression d’avoir oublié de vous préciser une probabilité de notre bonne entente… Oh, oui, je m’en souviens bien. J’ai appris, par ma propre personne, que cet être, qui pourtant aurait pu faire un très bon amant à des donzelles, que sa sexualité était plutôt tirée vers la gente masculine. Et quelques fois, je me dis que cela devait être dans les gênes de notre père, finalement. Et cela est assez probable, admettons-le.
J’ai un certain goût de luxe qui m’attire plutôt vers les limousines avec chauffeur que vers les bus et les trams de la ville. Je me dis, quelque part, un homme comme moi n’est pas fait pour ce genre de transport en commun, que mieux vaut pour lui d’être seul, uniquement accompagné de sa grande classe habituelle que d’êtres tous plus étranges les uns que les autres. Franchement, ces transports son médiocres. Je ne pourrais savoir ce qui s’est passé sur le siège où j’aurai décidé de poser mes fesses royales, avant mon arrivée ; un petit jeu sexuel, un clochard, un évadé de prison, ou peut-être même que quelqu’un y aurait dégobillé son précédant repas pour cause de trop d’alcool ? Ah, que de saleté. Je préfère, de loin, occuper l’une de mes belles voitures et changer de transport tout au long de la semaine, et paraître supérieur à chaque passant que je risquerai d’éblouir de ma folle beauté.
Mon enfance, ainsi que mon adolescence, ont dû se résumer aux voyages, aux découvertes de nouveaux horizons. J’ai bien souvent changé de pays, ne me laissant pas même le temps de me faire ne serait-ce qu’une vingtaine de bons amis. Au contraire de mon frère, j’ai osé m’approcher des inconnus, pour m’en rapprocher personnellement. Lui, semblait préférer rester seul, peut-être par peur d’être abandonné ou celle du départ qui ne tardait jamais ? Les voyages résonnent en moi comme une grande passion. J’ai aimé ce rapprochement entre deux nations, souvent bien différente l’une de l’autre. Dans tous ces pays, j’ai appris certaines de leurs danses typiques, m’appliquant à chaque pas, faisant de moi un bien meilleur danseur que beaucoup d’autres. Je me vois, un jour, parcourir le monde entier, apprendre toutes ces autres danses que je n’ai pas encore pu découvrir, les effectuer avec grand plaisir, prouver au monde entier que je vaux de l’or, que chacun de mes mouvements est plus précis que celui de n’importe quel grand danseur au monde.
Quelque part, j’ai eu une grande chance en ce qui concerne mon parcours professionnel. J’ai réussi à m’imposer au milieu de créateurs bien plus prestigieux que ma propre personne, et ce sans doute grâce à l’aide de ma belle-mère, une grande créatrice elle-même. Depuis l’âge de vingt ans, je possède donc ma propre ligne vestimentaire, qui rencontre un gros succès depuis sa création. J’ai un certain style qui me démarque des autres, un art plus avancé que certains d’entre-eux. Peut-être même une imagination plus abondante et de meilleurs mannequins que tous ceux-ci. Mais ce travail n’est pas l’unique. Ayant une vie bien chargée, un emploi du temps plutôt rempli, je ne peux pas avoir que cela. A côté, je travaille également comme danseur auprès de célébrités, pour leurs clip vidéos ou encore leurs concerts. Autant dire que mes journées sont assez longues entre l’université, la gestion de mon entreprise, les répétitions de danse et enfin, lorsque vient la soirée, j’ai deux choix : lorsque je suis libre, je sors auprès de mes amis, en boîte, pour boire, faire la fête et même se changer les idées ; tandis que ceux où je ne le suis pas, je les passe majoritairement aux concerts, à danser sur scène devant des milliers de personnes, des milliers de fans hystériques – de moi, j’en doute. Un léger « Vous souhaitez me voir ? Prenez contacte avec ma secrétaire afin d’obtenir un rendez-vous. » m’irait à la perfection.
L’arrogance est une entière partie de ma personne, sans aucun doute suivie de cette rébellion qui m’envahie bien souvent. J’ai appris, au fil du temps, que jamais il ne fallait se laisser impressionner par une quelconque situation, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Certains croient peut-être que je suis un être soumis, mais c’est bien loin de cette idée que j’ai grandit. Depuis mon enfance, je n’écoute que très rarement ce que mes parents, mes professeurs, ou même encore mes amis, me disent. Franchise : c’est un mot d’ordre pour ma personne. Durant mon enfance, les êtres m’entourant m’ont appris bien des choses, mais la plus importante est sans doute de ne jamais, jamais manipuler un être cher, ou bien même un autre encore. Mais malheureusement pour ces personnes, il m’arrive de le faire, bien que je tente tant bien que mal de ne pas le faire. Ce sentiment de supériorité, de faire croire à chacun tout ce que l’on veut, m’attire bien trop pour le laisser loin de mes pensées. Je vous invite ainsi à découvrir le reste de ma personnalité en venant me parler ; ce n’est pas si difficile que cela, après tout.

behind da computer!

    pseudo chut, mykey.
    âge je n'ai que vieilli de quelques jours, pas d'une année èé.
    pays pas de déménagement entre-temps non plus '-'.
    avis sur VIU bah, quelle question.
    & qui suis-je ? lekékédéplaj \o.
    un commentaire je m'aime, encore et encore.

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Nahm Keshawn

my fabulous name is

;Nahm Keshawn



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MessageSujet: Re: ✎ nahm keshawn; pyromania the mania.   ✎ nahm keshawn; pyromania the mania. Icon_minitimeMer 30 Mar - 12:16


✎ nahm keshawn; pyromania the mania. 34dn8km

i am or i wanna be.

Tout le monde sait, que ce soit vous ou moi, que devenir vip est une chose assez compliquée en soi. Il vous faut une vraie spécialité, quelque chose qui vous différencie du reste de la population ; et pour moi, je crois que ça a été le début de ma ligne vestimentaire, en plus de mes compétences de danse. Devenir créateur à vingt ans n’est pas quelque chose de facile non plus, puisqu’il faut savoir se démarquer, faire preuve d’une grande imagination pour éviter de reproduire les mêmes schémas qu’un autre, voire même se défendre sur certains points. Savoir simplement faire des croquis, des tenues assez simples, ne vous aidera en rien à devenir un grand créateur, à égaler les plus prestigieux d’entre-eux. Chacun d’eux vous déconseillera de vous lancer sur cette voie si vous n’avez pas une réelle passion pour la haute-couture, si vous n’avez pas déjà des relations dans ce rude milieu. Pour ce qui est de la danse, c’est aussi une question de savoir s’imposer dans le milieu artistique, aussi bien que dans n’importe quel autre. Pour ma part, c’est un don qui m’est revenu de mon père, ainsi que de longues années d’entraînement, afin d’arriver là où j’en suis aujourd’hui. Et pour tout vous avouer, mon parcours professionnel ne semble pas être prêt de se terminer dans quelques années ; j’impressionne.

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